Déclin
Réveille toi, âme endormie,
Libère toi de l’apathie,
Et de la matrice qui t’asservit .
Contemple ce système infernal,
La société amorale pervertie,
Ses régimes gâtés et vieillis,
Infusant peur et haine raciale,
Usant de guerres et de conflits,
Pour scinder l’humanité,
Éconduisant l’évolution et le progrès.
Regarde la Terre abîmée,
Son sol dénaturé, empoisonné,
Sa faune marquée et parquée,
Dans des camps concentrée,
Avant l’abattage et l’emballage .
C’est le nazisme du nouvel âge,
Où la nature plurielle divine,
Devient victime de la machine.
L’âme aveugle, parée d’œillères,
Avide d’illusions et de matières,
Se révèle assoupie, suicidaire.
Comme un pantin manipulé,
Par des médias fourbes erronés.
Impassible, elle consomme sans ciller,
Des denrées corrompues altérées,
Fruits de l’ère industrielle,
Où la chimie infecte le naturel.
Prends conscience des maladies,
Qui sévissent dans les familles,
Affectant les plus âgés,
Esclaves dociles et façonnés,
À la matrice, ses lois faussées.
Ces serviteurs candides et loyaux,
Ont embrassé leur déclin, leur fléau
Et tissé le linceul du tombeau.
Réveille toi, âme engourdie,
Affranchis toi des codes transmis,
Leurres d’un peuple crédule et soumis.
Lève-toi Homme Divin,
Brise la matière sombre, apeurée,
Et l’obscurantisme, pilier vain,
D’un système périmé qui s’éteint.